La candidature

Il faut suivre les étapes pour parvenir à trouver et à obtenir un emploi. Il est nécessaire de postuler pour commencer. On doit s’informer si l’entreprise recrute ou pas avant de déposer sa candidature. Si la société a fait une offre, c’est la meilleure occasion. Il faut se munir d’un Curriculum Vitae (CV) et d’une lettre de motivation. On trouve dans le CV tous les renseignements sur votre parcours : les études faites, les diplômes en votre possession, les stages que vous avez effectués. La lettre de motivation est un document toujours demandée par l’entreprise lors d’un recrutement. Comme son nom l’indique, vous devez énoncer la raison qui vous motive à postuler pour l’emploi. Après la déposition de la candidature, l’entreprise appelle pour confirmer votre candidature dans le cas où il n’appelle pas cela veut dire votre dossier n’a pas été retenu.

La planification de l’entretien d’embauche

La tenue de l’entretien d’embauche est confirmée par un appel de la société pour annoncer l’acceptation de votre demande. La phase primordiale est de se préparer pour l’entretien afin de bien envisager les questions et les réponses. Il faut faire des recherches sur l’entreprise et l’analyse détaillée du poste.

Le jour de l’entretien

L’entretien est mené par le responsable du recrutement. C’est un test d’évaluation des capacités du candidat et aussi d’en savoir plus sur lui. C’est en quelque sorte un test pour savoir si vous avez les qualités requises pour le poste. L’entretien ne garantit pas que vous êtes admis au poste mais c’est la vérification de vos potentiel. L’entretien est effectué oralement pour découvrir la faculté intellectuelle du candidat. La ponctualité à l’heure de l’entretien est nécessaire pour prouver que vous désirez le poste.

Qu’est-ce qu’un extrait Kbis ?

Il faut préciser que le Kbis ou l’extrait Kbis est un document officiel prouvant l’existence d’une entreprise aux yeux de la loi. La demande d’un Kbis se fait auprès du Greffe du Tribunal du Commerce. Le document prouve l’inscription d’une entreprise au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS). Il faut donc être immatriculé au niveau du Registre du Commerce et des Sociétés pour pouvoir faire la demande d’un extrait de Kbis.

Que trouve-t-on dans un extrait de Kbis

L’extrait de Kbis contient de nombreuses informations sur l’entreprise elle-même. Y sont notamment mentionnés :
– La date de constitution de l’entreprise
– Le sceau du greffe d’immatriculation de l’entreprise
– L’enseigne, le sigle et la raison sociale de l’entreprise
– Le numéro SIREN et le code NAF
– La forme juridique de l’entreprise (SARL, SCI, GIE, SAS…)
– La devise et le montant du capital social
– L’adresse du siège principal de l’entreprise
– L’activité détaillée de l’entreprise
– La durée
– Le nom de domaine si l’entreprise dispose d’un site internet
– Les informations détaillées sur le dirigeant, les administrateurs et les commissaires aux comptes

Quelles démarches pour la demande d’un Kbis ?

On peut faire la demande d’un extrait de Kbis directement en ligne. C’est simple et rapide à faire. Il est aussi possible d’en faire la demande en se déplaçant physiquement au Greffe du Tribunal de Commerce ou par voie postale. La demande d’un extrait de Kbis n’est pas onéreuse. Elle coute 3,70 € par voie électronique, 3,96 € par courrier et 2,96 € sur place.

Vous avez payé

Il ne faut pas vous leurrer, le remboursement dans ce genre de situation est souvent impossible mais des procédures sont quand même possibles. Mais vous vous demandez peut-être si vous pouvez vous opposer au paiement pour ne pas vous retrouver sans rien dans cette transaction. En fait, l’opposition au paiement n’est possible qu’avec certains moyens de paiement, par exemple les paiements au comptant par chèque, par prélèvements ou par carte bancaire.

Lorsque le paiement est opposable

Parlons du paiement par chèque, opposable mais seulement si le montant de la commande n’a pas été débité le jour de la liquidation, autrement dit, si le chèque n’est pas encore passé en compensation. Pour les prélèvements, il faut savoir qu’ils peuvent être suspendus dans le cas où vous les contestez dans les 2 mois qui suivent le jour de mise en redressement ou de la liquidation judiciaire. Pour le paiement par carte bancaire, l’opposition est possible bien que les banques s’y opposent bien souvent. Si votre banque refuse votre opposition, faites valoir l’article L133.17 du code monétaire et financier qui stipule que l’opposition peut être effectuée en cas de procédure de liquidation ou de redressement judiciaires. Mais dans le cas d’un paiement à crédit, c’est-à-dire que vous avez bénéficié d’un crédit à la consommation ou d’un prêt pour l’achat de tel ou tel produit ou service, vous avez l’obligation de rembourser le prêt dans sa totalité. Dans le cas où la commande n’a pas été livrée car le crédit, d’une durée de 3 mois, était directement lié à l’activité, vous êtes dispensé de remboursement.

Cacher sa situation : c’est légal !

Jusqu’à présent, aucune loi n’impose aux femmes enceintes de déclarer leur situation à leur employeur. Ce peut être durant les entretiens d’embauche que pendant l’exécution du contrat, en passant par la période d’essai. Ainsi, il est tout à fait possible de cacher sa situation. D’autant plus que pendant l’exécution du contrat, la femme enceinte sera protégée par le Code du travail. Renvoyer une personne à cause de sa situation est illégale.
Malgré tout, cette alternative est moralement répressible. On peut considérer le fait de cacher sa grossesse comme un dol. En outre, pour celles dont le stade est assez avancé, cacher le ventre n’est pas une possibilité.

Rassurer le recruteur : comment faire ?

La grossesse ne doit pas être un facteur pour renoncer à chercher du travail. Tous les recruteurs ne se valent pas. Certains sont plus compréhensifs que d’autres. Dans tous les cas, afin de mettre toutes les chances de son côté, il faut rassurer le recruteur.
En premier lieu, il faut mettre le point sur son état : le stade de sa grossesse, l’agilité et le niveau de concentration. La grossesse doit être présentée comme un atout. Les femmes dans cette situation sont, semble-t-il, plus sensibles aux détails. Des recherches l’ont prouvé.
En second lieu, il faut souligner ses compétences et ses expériences. Grossesses ou non, les capacités intellectuelles restent les mêmes, surtout pour une femme habituée à travailler.

Qu’est-ce qu’un plan de formation ?

Les actions de formation prévues par l’Entreprise toute l’année seront figurées dans ce plan. Elles sont essentielles pour le développement et l’enrichissement des compétences du salarié. Le salarié peut choisir les formations relatives à son poste et sa responsabilité. Dans tous les cas, il doit en tirer parti tout comme l’entreprise elle-même. S’il ne figure pas dans le planning préétabli, il peut toujours demander à la direction du personnel les formalités à respecter pour bénéficier de ces formations.

Faire valoir son droit

Vous avez le droit de demander à participer à une formation. Toutefois, vous devez respecter certaines conditions. Adressez-vous à votre supérieur et informez-le de votre souhait. Il va étudier votre cas et vous autorisera ou non d’assister à cette formation. Au cas où il existe des délégués personnels dans votre entreprise, vous pouvez les consulter. Vous pouvez leur demander des informations concernant ce plan de formation. Renseignez-vous sur les actions de développement ou d’adaptation envisagée pour la formation, et adoptez les avec votre projet professionnel.

Cibler un intérêt commun

Pour renforcer la compétence de ses personnels, chaque entreprise est obligée de leur donner l’opportunité d’être formés au moins une fois tous les 6 ans. Comme la formation est entièrement financée par l’entreprise, elle devrait cibler ses propres intérêts et une évolution de compétence du salarié. Alors, optez pour une formation axée sur les besoins productifs et techniques. Pour chaque demande de financement, vous devez rassembler quelques informations telles que le coût, le lieu, les modalités et le contenu.

Quelle formation dois-je suivre pour devenir présentateur ou animateur média ?

À l’instar de la majorité des professions médias, il n’existe pas de cursus particulier qui mène au métier d’animateur ou présentateur TV/Radio. Encore moins des formations à proprement parler. On peut ainsi y accéder par différents enseignements, notamment le journalisme qui offre des cursus radio-télé.
Aussi, le Studio École de France (SEF) dispense des formations en rédacteur chroniqueur radiophonique et en animation radiophonique en Bac+2. Celles-ci ouvrent le chemin vers la préparation du certificat européen de journalisme et du diplôme de l’école des Médias (Bac+3).
Pour percer réellement dans la profession d’animateur ou présentateur TV/Radio, il est recommandé d’accumuler les expériences, les stages ou encore les castings en chaine locale ou radio, sans oublier de se constituer un carnet d’adresses fiable et solide.

Les qualités d’un bon chroniqueur TV/Radio

À la télévision comme à la radio, le chroniqueur TV/Radio occupe une part de responsabilité importante, notamment dans la gestion du déroulement de l’émission du début à la fin. Avec les contraintes du « direct », il doit être réactif à tout moment, avoir un esprit de répartie et un excellent sens de l’humour pour faire face à toutes les situations, même les plus inattendues.
Quel que soit le type d’émission qu’il anime : variétés, jeu, magazine d’information…, le chroniqueur TV/Radio doit s’adapter aux divers thèmes traités. Une connaissance solide des médias et une bonne culture générale sont donc autant de qualités à ne pas oublier pour exercer ce métier.