Les conditions de lancement

Si vous envisagez d’intégrer le monde du travail indépendant, vous devez connaître les conditions de base qui régissent ce milieu. Le sens du professionnalisme se construit lorsque l’on parle de travail individuel. Tout doit commencer par une mentalité responsable. Dès que vous franchissez le cap, il est important que vous preniez conscience de l’importance de votre travail. En général, une personne travaillant pour sa propre boîte néglige les conditions de travail telles que l’horaire et la tenue. Pourtant, c’est une très mauvaise habitude qui risque de nuire à votre développement professionnel. Même si vous savez pertinemment que personne ne vous surveille, vous devez vous imposer une méthode de travail efficace et bien organisée. Au-delà du comportement personnel, vous devez également apprendre les bases d’une bonne organisation. Que ce soit pour l’arrangement de votre domaine de travail ou la gestion des heures travaillées, une grande maturité est obligatoire pour assurer la réussite de votre projet.

Les points clés à respecter

Dans le milieu du travail individuel, il est primordial de savoir distinguer la vie professionnelle de la vie personnelle. L’engagement d’autres membres de la petite entreprise dépend de plusieurs prérequis. Savoir calculer les charges principales et secondaires est la base de votre prise de décision. En cas de mauvaise évaluation financière, vous risquez de perdre beaucoup et même d’aboutir à la faillite totale de votre entreprise individuelle. Pour assurer l’amélioration de votre travail, établissez un bilan pour chaque mois. C’est essentiel pour évaluer l’amélioration ou la détérioration de vos revenus. La méthode marketing est la plus importante pour évoluer dans votre domaine de profession. Apprenez à utiliser les outils informatiques et internet de la bonne manière.

Priorisez l’emplacement

Vous passerez sûrement plusieurs heures dans le cadre de votre travail à domicile. Il est donc important de trouver un emplacement adapté. Pour créer un bon espace de travail, tenez compte de certains critères comme la circulation. Si vous devez recevoir des clients, il est conseillé de créer un espace privé.

Quel que soit l’endroit où vous placerez votre bureau, considérez votre flux de travail et investissez dans un mobilier adapté et entièrement fonctionnel. Essayez autant que possible d’harmoniser votre espace bureau à domicile à la décoration intérieure, surtout si celui-ci ne se trouve pas dans un espace privé.

Priorisez l’organisation

Pour les bureaux à domicile, il est conseillé de tirer profit de l’espace et de l’utiliser de manière efficace. D’ailleurs, cette page vous donne tous les astuces pour y arriver. De ce fait, accrochez des étagères pour y intégrer certains objets. Vous pouvez par exemple y ranger vos classeurs afin d’avoir des documents importants à portée de main. Ne négligez pas non plus les tiroirs pour ranger votre paperasse. Mettez des compartiments dedans pour y mettre vos stylos ou d’autres fournitures de bureau.

L’espace mural est souvent négligé par les personnes, alors qu’il constitue un bon emplacement pour organiser votre bureau à domicile. Vous pouvez y accrocher des tableaux blancs, des calendriers, ou encore des étagères. Vous avez la possibilité de créer certains coins pour mieux organiser votre travail et rester productif. Un autre aspect à prendre en compte est la décoration. Il faudra en effet créer un espace où vous vous sentirez bien.

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Préparation à l’entrevue

Accordez une grande importance à la planification et la préparation.
Établissez un canevas des questions d’entrevue, pour ne pas vous perdre durant la confrontation. Avec un schéma de l’entretien que vous mènerez, vous aurez devant vous un guide et de ne pas manquer des étapes importantes telles que l’emplacement, la culture et les valeurs de l’entreprise, etc.
Vous pouvez également préparer une grille d’entrevue, énumérant différents critères d’évaluation du candidat, y compris son comportement et son attitude à l’égard de vos interrogations.
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Créer les bonnes conditions

Il est important de créer un climat détendu. L’entretien doit être programmé dans un créneau horaire spécifique. La durée recommandée est de 45 minutes à 1 heure.
L’espace doit être calme et discret, pour respecter la confidentialité des échanges et mettre le candidat à l’aise. Assurez-vous de ne pas être interrompu.
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Soyez attentif aux signes

Observez la façon dont le candidat s’exprime, sa posture et ses gestes. Certaines attitudes de votre part peuvent le mettre mal à l’aise, comme froncer les sourcils, fixer le regard, taper des doigts sur le bureau ou croiser les bras. Le sourire est idéal pour créer une atmosphère de bienveillance et l’encourager à être sincère.
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Posez des questions pertinentes

Les questions d’entretien d’embauche structurent le moment de l’échange et permettent de cerner le plus précisément possible la personnalité et le niveau d’adéquation du candidat. Les questions doivent correspondre aux caractéristiques que vous souhaitez trouver pour le poste.
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À la fin de l’entretien

Établissez une première conclusion à chaud. Vous évitez d’oublier des éléments précieux et préparez le terrain pour vos décisions. Respectez le calendrier défini avant le début de la recherche pour donner votre réponse. Cette attitude est bénéfique pour les besoins de l’entreprise et son image. Peu importe l’issue de l’entrevue, communiquez-la au demandeur d’emploi.

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Pour enrichir le répertoire de ses contacts

Un business club regroupe généralement de nombreux chefs d’entreprises opérant dans des milieux variés. C’est de ce fait le meilleur endroit pour trouver de nouveaux contacts qui permettent d’améliorer votre business. En effet, vous avez la possibilité de vous mettre en relation avec de potentiels clients et de potentiels partenaires dans ce type de club. Avec un carnet bien rempli, une entreprise a plus de chance d’étendre son affaire dans de nouvelles zones géographiques ou dans d’autres secteurs d’activités.

En étant membre d’un club, il se peut également que vous bénéficiiez de recommandations des autres membres auprès de leurs partenaires ou de leur clientèle. Vous profiterez ainsi d’une meilleure visibilité sans avoir à effectuer de lourds investissements. Évidemment, les recommandations doivent être méritées et il vous faut contribuer au développement de votre club. Pour ce faire, vous aurez besoin de partager votre expérience, mais aussi de recommander les membres qui peuvent potentiellement intéresser vos contacts.

Pour un soutien infaillible

Un club d’entreprise est un excellent moyen d’échapper à la solitude qui touche souvent les jeunes entrepreneurs. Les activités d’un club d’entreprise peuvent généralement se faire à travers de simples réunions, des soirées ou des séminaires. Ces évènements seront de parfaites occasions de trouver des personnes avec qui partager ses motivations dans le monde de l’entrepreneuriat. Il est vrai que les membres du club n’auront pas forcément une expertise dans le domaine qui vous concerne.

Cependant, ils sont plus enclins à partager leurs expériences en vue d’aider les nouveaux adhérents à acquérir les bons réflexes. Un entrepreneur entrant dans une phase difficile, sur le plan professionnel ou personnel, peut par exemple y trouver de bons conseils. Ce ne sont toutefois pas les vétérans qui sont les seuls contributeurs dans ce type d’organisation. En effet, les jeunes membres seront surtout appréciés pour le regard neuf et les idées novatrices qu’ils apportent. Ils peuvent aussi aider à rester au courant des nouveautés dans un secteur.

Pour plus de professionnalisme

Parfois, il est nécessaire de prendre du recul afin de pouvoir souffler un peu. Un club d’entreprise est l’endroit idéal pour cela puisqu’il permet aussi de mener des discussions simples et de partager sa passion pour d’autres domaines comme lors des réunions mensuelles d’entrepreneurs autour du rugby. Malgré tout, dans un business club, les chefs d’entreprises ne font pas toujours des échanges triviaux.

En effet, les membres doivent effectuer au moins une présentation de leur entreprise et de leurs ambitions afin d’aider les nouveaux adhérents à mieux les connaître. Chaque membre a également la possibilité de présenter ses projets afin d’obtenir des avis constructifs. C’est ainsi le meilleur endroit pour préparer une présentation en vue par exemple de convaincre des investisseurs financiers. En plus d’acquérir de l’expérience sur la manière de présenter un projet, vous profitez de plusieurs avis extérieurs. Les profils des membres sont suffisamment variés pour vous aider à penser différemment. Vous remarquerez plus facilement les défauts auxquels vous n’auriez pas immédiatement pensé ainsi que les perspectives susceptibles d’améliorer votre projet.

Pour plus d’économies

Un club d’entreprise peut être une association à but non lucratif. Cette dernière impose les conditions d’adhésion de ses membres et souvent une contribution financière n’est pas la condition d’adhésion la plus importante. Ces associations qui ne nécessitent aucun investissement financier important sont un bon moyen pour une jeune entreprise de rechercher du soutien pour démarrer dans un secteur.

En plus de fournir des conseils, ces associations offrent aussi un soutien matériel et technique pour soutenir les nouvelles entreprises. Les membres peuvent également s’unir afin d’investir dans des équipements qui leur serviront. Cela permet aux entreprises encore financièrement faibles de s’équiper proprement tout en économisant. Mais une entreprise qui bénéficie de l’appui d’un club doit en retour être prête à mettre en commun certaines de ses ressources pour aider à son tour les entreprises montantes. Il faut par ailleurs noter que les clubs d’entreprise à but lucratif ont aussi leurs avantages. Les objectifs qu’ils fixent pour leurs membres sont notamment susceptibles de les aider à gagner plus d’expérience, élargir leur domaine d’activité, booster leur chiffre d’affaires, etc.

Les conditions requises pour être un auto-entrepreneur en 2021

Précisons que le statut d’auto-entrepreneur est dédié aux étudiants français, aux retraités, aux salariés non fonctionnaires, aux parents au foyer, aux résidents étrangers possédant un titre de séjour et aux chercheurs d’emploi qui veulent créer une entreprise individuelle en France. Ils peuvent exercer une activité professionnelle lucrative en tant qu’indépendants. Pour adhérer à ce statut, il faut respecter certaines conditions.

Il faut notamment avoir une adresse postale en France, c’est-à-dire être de citoyenneté française ou européenne ou avoir un titre de séjour permettant d’exercer une activité professionnelle, par exemple une carte de résident, une carte de séjour temporaire ou une carte de résident de longue durée. Pour devenir auto-entrepreneur, vous ne devez pas non plus être sous tutelle ni condamné à une défense de gérer. Puis, l’activité que vous prévoyez d’exercer doit être éligible au statut de micro-entreprise.

À noter que si vous êtes salarié, vous pouvez exercer en tant qu’auto-entrepreneur si votre clause de travail vous le permet.

Quelles formalités à suivre pour être un auto-entrepreneur ?

Pour devenir un auto-entrepreneur, vous pouvez effectuer les formalités en ligne, sur www.autoentrepreneur.urssaf.fr. L’immatriculation peut s’effectuer en ligne en remplissant le formulaire requis qui sera à joindre avec le dossier de déclaration et qui devra être envoyé au Centre de Formalités des Entreprises (CFE). À noter que vous devez choisir le type de formulaire à remplir selon l’activité que vous envisagez d’exercer.

Pour les activités marchandes et artisanales, il faut remplir le formulaire cerfa p0 de l’auto entrepreneur. Pour les professions libérales, vous devez remplir le formulaire P0 PL Micro-entrepreneur. À noter que certains métiers et activités ne sont pas éligibles au régime micro-entrepreneur et ne peuvent donc pas être exercées.

L’inscription au statut d’auto-entrepreneur

Vous pouvez faire votre déclaration en ligne (notamment sur ce site) ou la déposer directement auprès de l’institution correspondant à votre activité. Pour les activités commerciales (vente), la déclaration se fait à la Chambre de Commerce et de l’Industrie. Pour les activités artisanales, elle se fait à la Chambre des Métiers. Pour les professions libérales ou les prestations de services, l’inscription se fait à l’Urssaf. Une fois que vous êtes enregistré, l’INSEE vous attribue un numéro de Siret. Vous n’avez plus besoin de vous enregistrer au Registre de Commerce et des Sociétés avec ce statut. Cependant, la nouvelle loi de 2010 oblige l’auto-entrepreneur ayant une activité artisanale comme activité principale de s’immatriculer au registre des métiers.

La déclaration du chiffre d’affaires

On parle ici de la fiscalité de l’auto-entrepreneur et de ce qu’elle doit déclarer en imposition. Il est soumis à l’IR ou Impôt sur le Revenu. L’IR des activités commerciales et artisanales est considéré comme micro-BIC ou bénéfices industriels et commerciaux. Pour les activités non commerciales et les professions libérales, l’IR est classé micro-BNC (Bénéfices non commerciaux). Le régime fiscal de l’auto-entrepreneur s’exerce donc de plein droit. Le régime fiscal de l’auto-entreprise repose sur 2 principes : la franchise de TVA et le plafond du chiffre d’affaires. Le statut d’auto-entrepreneur est exonéré de la TVA à condition de ne pas dépasser le seuil de plafond du chiffre d’affaires. Ce dernier est de 170 000 € pour l’achat et vente, et de 70 000 € pour les prestations de services. Ce chiffre d’affaires est calculé pendant une année complète, soit 365 j. Par exemple, si une activité démarre le 20 avril 2020, l’année d’activité sera comptée 365-110 = 255 jours. Le plafond sera calculé comme suit : (70 000 € x 255)/365= 48 904 €. Si le régime fiscal est simplifié, on peut faire un prélèvement libératoire forfaitaire sur l’IR.

Le régime social de l’auto-entrepreneur

L’auto-entrepreneur exerce sous le régime microsocial. De ce fait, il bénéficie d’une protection sociale complète à savoir une indemnité de chômage, une mutuelle santé et une retraite. Le paiement de la cotisation se fait par mois ou par trimestre selon la période de déclaration du CA. La cotisation est calculée en proportion du CA. Il existe déjà une grille des taux de cotisation selon l’activité. Par exemple, pour les activités commerciales de vente marchandise/fourniture logement et de denrée, le taux est de 12,8 %. Pour les prestations de services commerciales, artisanales et libérales (relevant du RSI retraite) le taux est de 22 %. Puis, pour les activités libérales (relevant de CIPAV retraite), le taux est aussi de 22 %. Le taux appliqué au chiffre d’affaires selon l’activité exercée est différent. Pour les activités de vente mentionnées ci-dessus, le taux est de 8,6 %. Pour les activités de prestation de service commercial, artisanal et libéral (relevant de la RSI), le taux est de 14,6 %. C’est le même taux pour les prestations libérales non réglementées (BNC). Il faut aussi noter que le statut d’auto-entrepreneur exige de payer une contribution à la formation professionnelle ou CFP. Elle est en général égale au pourcentage du CA. Pour les activités artisanales, ce taux est de 0,3 %. Pour les activités commerciales, il est 0,1 % et pour les prestations de services ainsi que les professions libérales, il est de 0,2 %. Cette contribution doit être versée avec les autres cotisations, dont les cotisations d’assurance maladie, d’allocation familiale, d’invalidité et de retraite.

Les aides disponibles pour l’auto-entrepreneur

L’auto-entrepreneur bénéficie de différentes aides financières à savoir l’Acre, l’Are et le Nacre. L’Acre est une franchise sur les charges sociales attribuées au demandeur d’emploi créant une entreprise. Cette exonération est partielle et progressive. Pour une activité démarrée avant l’an 2020, le taux se calcule sur les 3 années d’exercice. Il est de 25 % la première année, 50 % la deuxième année et 75 % la dernière année. Pour une activité créée après 2020, elle se calcule sur 1 an et le taux est de 50 %. Pour bénéficier de l’Acre il faut être demandeur d’emploi ou avoir moins de 25 ans. L’Are, quant à elle, est une Aide au Retour à l’Emploi dédiée au demandeur d’emploi ayant déjà l’Acre. C’est un versement réalisé en 2 fois par Pôle Emploi et qui correspond à 45 % des allocations au chômage. Puis, il y a le Nacre qui est une aide pour la création et la structuration financière d’une activité qui démarre. C’est un accompagnement et un prêt à taux 0 allant de 1000 à 10 000 € à rembourser en 5 ans. Pour en bénéficier, il faut être bénéficiaire de l’Are ou de l’ASP. Il faut aussi être demandeur d’emploi et non indemnisé. Par ailleurs, il faut bénéficier du RSA ou de l’allocation ASS et avoir moins de 30 ans. Enfin, les personnes sans emploi qui ont un contrat d’appui au projet entreprise (CAPE) et qui bénéficient de la PreParE ou la Prestation partagée d’éducation de l’Enfant peuvent également jouir du Nacre.

C’est un art qui s’apprend

L’un des secrets d’un bon commerçant, c’est de s’intéresser sincèrement à vos clients. Cela veut dire que vous devez éviter de parler sans arrêt, car c’est comme si vous ne prêtez pas attention à ce que vos clients cherchent vraiment. Sachez poser les bonnes questions et sachez écouter. Tenez compte de ce qu’ils disent et à partir de là, guidez-les en douceur vers les produits qu’ils recherchent. Et cela implique de votre part une connaissance pointue et détaillée de chacun de vos produits. En effet, comment convaincre quelqu’un de l’importance de tel ou tel article si vous n’êtes même pas capable d’en parler avec passion ? Et pour vous passionner, il faut que vous maîtrisiez parfaitement vos produits.

Votre apparence compte énormément

Pourquoi accorder de la valeur à votre apparence ? Est-ce que ce ne sont pas vos produits qui comptent le plus et les réclames que vous leur ferez ? Eh bien non. Il est important, aux yeux de vos clients en tout cas, que vous ressembliez à ce que vous vendez. C’est-à-dire que vous devez vous-même, être souriant, amical et abordable. Si vous êtes présentable, propre et sûr de vous, vous allez inspirer confiance, cela va de soi. Si vous vendez des contrats d’assurance et que vous soyez en tee-shirt, vous avez peu de chances de vendre, c’est certain.

Les différentes activités d’un manager opérationnel

Un manager opérationnel doit s’occuper de différentes activités, dont la proposition des objectifs à atteindre et le contrôle de l’accomplissement des tâches. Il doit aussi élaborer les plans d’action et vérifier le compte rendu des activités de son service. Un manager opérationnel s’occupe par ailleurs de l’organisation et du suivi du travail, de l’administration des moyens budgétaires et humains associés, ainsi que l’animation de l’équipe et le référent technique. Il prend aussi en charge le suivi des dossiers complexes, la délégation des tâches, la conduite des réunions et l’accompagnement en cas de changement. C’est le manager qui établit en outre les conditions particulières d’exercice. Cependant, pour accomplir toutes ces missions, un manager opérationnel doit avoir une grande disponibilité et certaines compétences.

Les compétences et les qualités requises pour être un manager opérationnel

Pour être un manager opérationnel, il faut avoir des compétences ainsi que du savoir-faire et du savoir-être. Il faut avoir le sens de l’organisation, connaitre des méthodes de management et des outils d’évaluation. Il faut également avoir un esprit de décision, le sens du dialogue et des responsabilités. Des qualités d’écoute et des compétences managériales particulières sont également requises. En outre, un manager opérationnel doit savoir synthétiser, motiver, prioriser, contrôler et gérer ses émotions. Il doit s’agir d’une personne exemplaire qui sait gérer son équipe tout en prenant des risques et en assumant ses décisions. C’est pour cela qu’il est vraiment important qu’un manager opérationnel possède déjà de l’expérience dans le domaine du management. Enfin, il est aussi essentiel qu’un manager opérationnel ait une attitude positive, qu’il soit courageux et pragmatique.

Comment composer avec les jeunes ?

L’erreur qu’il faut éviter à tout prix, c’est de laisser les jeunes de côté, en leur disant de bien observer comment leurs aînés travaillent ou le temps qu’ils s’imprègnent de l’atmosphère ambiante. Donnez-leur du vrai travail, cela leur donnera confiance en eux. Ce serait dommage de passer à côté d’un si grand potentiel ! Accordez-leur de plus en plus d’autonomie tout en gardant un œil vigilant sur eux. Ne négligez pas l’encadrement, ou concrètement, demandez à quelques collaborateurs de jouer les tuteurs auprès de ces jeunes. Pour mieux les gérer, il faut passer par le débriefing, l’évaluation et des étapes de progression.

Privilégiez la communication

Ne vous dites surtout pas que, puisque vous êtes le manager et avec de fructueuses années d’expérience derrière vous que vous ne devez pas écouter les jeunes. S’ils ont quelque chose à dire, écoutez-les attentivement. Mieux, encouragez-les à exprimer leurs opinions, tout au moins, cela vous permettra de mieux comprendre leur raisonnement et avoir un œil neuf sur vos méthodes et vos pratiques. C’est peut-être de là que viendra l’innovation. Dans tous les cas, ayez du respect pour vos novices et maintenez une bonne communication entre vous. Soyez un bon manager, après tout, vous avez probablement commencé comme eux…

La technologie utilisée par le vidéoprojecteur compte beaucoup

Actuellement, deux technologies équipent les vidéoprojecteurs : DLP et Tri-LCD. La différence entre les deux reste minime pour l’œil humain. Seulement, les personnes sujettes aux maux de tête et aux problèmes visuels doivent privilégier les modèles fonctionnant avec la technologie Digital Light Processing (DLP) de dernière génération. Le vidéoprojecteur utilise une lampe à ultrahaute pression. Cette dernière a une durée de vie entre 2 000 et 6 000 heures. Il faudra des lampes Laser pour avoir une longévité d’environ 30 000 heures.

Voir la connectique ainsi que la résolution de l’appareil

Le vidéoprojecteur peut lire les clés USB et les disques durs externes. Assurez-vous qu’il se branche également à un lecteur DVD Blu-Ray ou à un ordinateur via une prise HDMi. Il est aussi possible de le relier à d’autres appareils dont la tablette tactile, la console de jeu ou la box Internet. Vous devriez vérifier la connectique pour savoir quelles sont les configurations possibles. Certains appareils ont le Wifi intégré. Pour ce qui est de la résolution, le mieux serait de privilégier un vidéoprojecteur proposant des images en Full HD (1980 × 1080). S’il faut carrément du haut de gamme, alors choisissez un modèle 3D ou 4k.

La luminosité reste à approfondir avant l’achat

A ce jour, le nombre de lumens constitue un argument sur lequel les fabricants insistent. En d’autres termes, il faut un appareil offrant une grande luminosité pour un confort d’utilisation optimal. Avec 1000 lumens, vous ne devez plus faire le noir absolu dans la salle de projection pour bien voir l’image. Les modèles à 2000 lumens sont presque efficaces en plein jour. De toute manière, les luminosités annoncées restent théoriques. Le même constat tient pour la mesure du contraste.